Le mercredi tout n’est pas permis
 
Les journées de classe sont de plus en plus lourdes. Le temps de préparation et de correction augmente avec l’explosion de l’hétérogénéité des classes. A cela s’ajoutent des injonctions purement administratives qui grignotent le reste du temps, sans parler de l’éventualité que nous allions travailler le mercredi matin dans les collèges.
 
Pour notre syndicat, cette dimension du travail de l’enseignant du 1er degré n’est pas prise en compte aujourd’hui. C’est pourquoi nous nous appuyons, entre autres choses, sur ce travail invisible pour justifier nos revendications en matière de revalorisation des enseignants du 1er degré.

Le SNE défend une revalorisation spécifique du 1er degré au ministère 

Le SNE a été entendu vendredi 17 mars au ministère de l’Education nationale. A cette occasion, nous avons fait le point sur la question de la revalorisation des enseignants et rappelé nos revendications pour des mesures spécifiquement en faveur du 1er degré. Au lieu de proposer de travailler plus, il est indispensable que l’administration prenne la mesure de la situation des enseignants du 1er degré et qu’elle agisse enfin en leur faveur.

Le travail invisible doit être rémunéré

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Le SNE a été reçu au ministère par le DGRH. Notre syndicat lui a indiqué qu’aujourd’hui, les enseignants du 1er degré ont besoin d’être rémunérés pour ce qu’ils accomplissent déjà gratuitement, pas de prendre en charge de nouvelles missions alors qu’ils travaillent déjà bien au-delà de leur mission d’enseignement. Le SNE a donc proposé des pistes objectives au ministère pour que le travail invisible des enseignants du premier degré soit enfin rémunéré.

Revalorisation : le ministère a bougé, mais il peut et doit mieux faire

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Le ministère a présenté un troisième projet de revalorisation pour la partie socle. Des évolutions positives sont notables, mais ce projet demeure globalement insatisfaisant, notamment pour les enseignants du 1er degré. Le SNE est porteur de solutions différentes. En appliquant nos revendications pour une rémunération équitable des enseignants du 1er degré, le ministère réduirait deux écarts à la fois : celui qui sépare PE et certifiés et celui qui perdure entre hommes et femmes.

Revalorisation : un projet de pacte inacceptable

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Le 2 février, M. Ndiaye a dévoilé le contenu du pacte envisagé par le ministère : «remplacement de courte durée, de l’orientation et de l’accompagnement des élèves, et, dans le premier degré, la possibilité d’enseigner au collège l’heure de renforcement de maths et de français». Travailler plus pour gagner plus ne constitue pas une revalorisation. Le SNE considère qu’aujourd’hui, le plus important consiste à reconnaître et donc à rémunérer le travail invisible effectué par les enseignants du 1er degré.

Le SNE reçu au cabinet de la première ministre

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​Nous avons été reçus, suite à notre demande d’audience, à l’hôtel Matignon ce vendredi 3 février. Nous avons rappelé notre souhait de voir une mesure significative sans contrepartie pour chaque enseignant du 1er degré. Les enseignants en seconde partie de carrière ne doivent pas être oubliés alors que ce sont ceux qui attendent depuis le plus longtemps une avancée dans leur rémunération. Le SNE a très fortement insisté sur la nécessité de reconnaître la réalité concrète du travail quotidien des enseignants du 1er degré et sur l’urgence de proposer enfin des aménagements de fin de carrière.

Revalorisation des enseignants : le socle vacille

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La première réunion sur les mesures de revalorisation prévues pour septembre 2023 s’est tenue ce mardi 24 janvier. Le président avait annoncé lors de sa campagne une augmentation «socle» de 10% pour tous les enseignants. Les deux propositions qui ont été présentées sont très loin du compte. Ce n’est ni sérieux, ni respectueux des enseignants. Revaloriser c’est redonner du prestige, une valeur plus grande, pas distribuer des miettes à ceux qui possèdent le plus d’expérience.

Trop c'est trop: tous en grève le 19 janvier ! 

Communiqué de presse

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Le SNE ne peut accepter une nouvelle dégradation des conditions de travail des enseignants, qui attendent toujours, rappelons-le, une revalorisation salariale pourtant promise lors de la campagne présidentielle. Trop, c’est trop ! Le SNE appelle donc les enseignants à se mobiliser en nombre le jeudi 19 janvier contre une réforme inadaptée.

Augmentez-nous, un point c'est tout!

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Le métier d’enseignant du 1er degré a évolué. Sa rémunération doit le refléter. Pour le SNE, les récentes propositions du ministre de conduire des bus ou d’effectuer des heures de soutien au collège sont à la limite de l’insulte envers les personnels tant elles témoignent d’une méconnaissance de la réalité du métier d’enseignant du 1er degré. Le SNE exige des mesures cohérentes qui correspondent au travail existant qui n’est pas rémunéré aujourd’hui.

Retraite : placer l'humain au cœur du débat, une priorité absolue

Pour le SNE, l'approche purement comptable de la question de la retraite passe sous silence la dimension humaine du sujet. Il existe aujourd’hui des injustices aussi insupportables que la chape de silence qui vise à les ignorer. Avant de chercher à modifier ou à changer le système des retraites, il existe des questions auxquelles il faudrait répondre.

A quand le réveil de notre ministre ?

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Les enseignants du 1er degré sont las d’être laissés pour compte en matière salariale. Notre syndicat défend depuis plusieurs années des mesures concrètes pour que la priorité annoncée au primaire s’applique aussi au personnel. Nous avons déjà présenté nos propositions au ministère. La dernière fois lors de l’ouverture des négociations sur la revalorisation en 2022. Nous les présenterons à nouveau cette année. Nous recommencerons jusqu’à ce qu’elles soient entendues.

Elargissement du «forfait mobilités durables»

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L’arrêté du 13 décembre 2022 étend la possibilité de prétendre au «forfait mobilités durables» à partir de 30 jours d’utilisation d’un moyen de mobilité durable et augmente son montant maximal à 300€. En raison de la publication tardive de cet arrêté le délai de demande a été étendu au 31 janvier 2023.

Ex-instituteurs : les oubliés de la hors-classe

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Pour ce qui est du passage à la hors-classe, le ministère et la plupart des organisations syndicales oublient (ou choisissent d’oublier) les instituteurs et les professeurs des écoles anciennement instituteurs. Est-ce parce qu'ils représentent de moins en moins de collègues ? Le SNE, lui, a choisi de continuer à les défendre.

Jour de carence : une injustice à réparer

Force est de constater que les enseignants contractent souvent les maladies courantes à l’école. Dès lors, il nous semble inadmissible qu’ils aient en plus à supporter un surcoût financier pour ce qui pourrait être considéré comme une maladie professionnelle. C’est pourquoi le SNE revendique la prise en charge du jour de carence par notre employeur.

Deux-cent-mille euros pour chaque PE

ISOE complète, heures supplémentaires, Indemnités pour Missions Particulières : un professeur certifié gagne en moyenne 5 000 euros de plus par an qu’un enseignant du 1er degré, soit pas moins de 200 000 euros sur une carrière complète. Pour le SNE, il existe aujourd’hui une opportunité de voir enfin reconnaître et rémunérer les spécificités de l’exercice dans le 1er degré. Il est indispensable de s’en saisir. Seul un syndicat qui défend exclusivement le 1er degré est à même de défendre cette revendication.

Les enseignants du 1er degré n’existent pas encore

Le SNE, syndicat qui défend exclusivement les enseignants du 1 er degré, se bat depuis des années pour une reconnaissance du travail invisible, dont les deux fois 10 minutes d’accueil quotidiennes en sont l’exemple criant. Vendredi 16, les personnels de l’Éducation nationale ont tous reçu une lettre du Président de la République dans laquelle il démontre soit une méconnaissance totale du premier degré, soit qu’il considère que les professeurs des écoles et les instituteurs ne sont pas des enseignants.

Une rentrée sous tension

En dépit d’un manque criant de recrutement lors de la dernière session des concours de professeur des écoles, notre administration centrale nous annonce que la rentrée s’est bien passée. Certains recteurs ou rectrices vont parfois jusqu’à parler de sérénité. La situation demeure pourtant loin d’être brillante et le recours aux contractuels devient une réalité qui prend de plus en plus d’ampleur dans le premier degré.

Les prochaines élections professionnelles se dérouleront en décembre 2022. Pour pouvoir être entendu dans les années à venir, le 1er degré doit être représenté dans toutes ses spécificités, sans compromissions.

Le SNE est le seul syndicat exclusivement du 1er degré qui se présentera lors des élections au niveau national. Voter pour le SNE, ce sera voter pour faire entendre votre voix, celle du 1er degré.

Revalorisation des enseignants : au-delà des annonces

Au cours de l’été, le Président de la République a semblé découvrir l’ampleur de la dégradation salariale que traversent les enseignants depuis deux décennies. Nous le savons puisque nous le vivons, aujourd’hui, les enseignants français sont mal rémunérés et ceux du premier degré tout particulièrement. « Plus de débutants en-dessous de 2 000 euros nets par mois », « 10 % d’augmentation pour tous les enseignants », « 10% supplémentaires sous conditions » : le SNE revient sur des annonces qui révèlent une méconnaissance absolue du travail des enseignants du premier degré.

Audience du SNE au ministère le 03 juin 2022

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Le SNE a rappelé sa spécificité de syndicat du premier degré et sa connaissance parfaite du terrain puisque tous ses délégués, président y compris, sont en poste dans une école en plus de leur mandat syndical. Notre syndicat a insisté sur 4 points qui nous semblent essentiels : les problèmes de l’école actuelle (attractivité, perspectives, évolutions, aménagements), les écarts de salaire entre le premier et le second degré, la direction d’école, et le manque de considération.

Le scandale des heures supplémentaires

D'une part les heures supplémentaires sont très rares dans le 1er degré contrairement au 2nd degré. D'autre part elles sont beaucoup moins payées : le taux horaire d'une heure supplémentaire d'un certifié est supérieur de plus de 60 % à celui d'un professeur des écoles. Le SNE, syndicat exclusivement du 1er degré, revendique donc que les heures supplémentaires dans le 1er degré soient immédiatement payées au même taux que celles du 2nd degré. Il est grand temps d'en finir avec cette différence de salaire. Ce que les professeurs des écoles vivent depuis des années est irrespectueux et quasi injurieux.

Le SNE revendique une prime de
« multiples niveaux et / ou effectif lourd »

La charge de travail induite par un grand nombre d’élèves n’est pas reconnue du point de vue de la rémunération pour les enseignants du premier degré. Les professeurs des écoles connaissent aussi une autre difficulté: les classes à multiples niveaux. Cette spécificité constitue également un surcroît de travail important. C’est pourquoi, pour le SNE, il serait légitime que les enseignants du premier degré bénéficient d’une indemnité qui serait le pendant de la prime pour effectif lourd qui existe dans le second degré.

Une revalorisation de 6 milliards annoncée avant le dégel
 

Lors du débat du second tour, le futur président de la République a affirmé que les enseignants seront tous concernés par une augmentation des salaires de 10 % dès l’été 2022, une augmentation inconditionnelle, sans lien avec le dégel du point d'indice. Le SNE vous livre tous les détails connus à ce jour et les améliorations qu'il entend défendre notamment en faveur du premier degré.

Le SNE revendique une prime de «professeur principal»

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Cette semaine, après la prime de « vie scolaire », notre syndicat vous présente une seconde proposition : la prime de «professeur principal». Dans les faits, tous les enseignants du premier degré en charge de classe exercent pleinement et chaque année les fonctions de professeur principal. Le SNE revendique donc le doublement du montant de l’ISAE pour qu’il corresponde à l’intégralité du montant de l’ISOE.

Elections présidentielles: priorité à l'éducation

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Cela fait des années que le SNE signale les dégradations des conditions de travail des enseignants du premier degré. Cela fait des années que nous pointons les défaillances du système. Alors, quel que soit le candidat qui sera élu, nous aurons pour objectif premier de le mettre face à ses responsabilités : les enseignants n’ont que trop donné. Il est temps pour eux de recevoir.

10 minutes d’accueil : stop au bénévolat

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Les 10 minutes d’accueil avant chaque demi-journée sont le lot quotidien des enseignants du premier degré. Cela correspond à 1h20 chaque semaine (pour une semaine de 4 jours). Ce n’est pas rien. Sur l’année cela représente 48h, c’est-à-dire rien de moins que 2 semaines de classe. Le SNE est le seul à dénoncer cet état de fait, puisque nous sommes le seul syndicat à porter exclusivement la voix du premier degré.

Le SNE revendique une prime de « vie scolaire »

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A grille indiciaire partagée, les professeurs des écoles et les professeurs certifiés ne perçoivent pas la même rémunération. Pourquoi ? Parce que la réalité du travail quotidien est prise en compte dans le second degré alors qu’elle est passée sous silence pour le premier degré. Revaloriser les enseignants du premier degré passe donc par la prise en compte des particularités de l’exercice de leur profession au quotidien. C’est pourquoi le SNE, représentant exclusif du premier degré, est le seul syndicat à proposer un panel de mesures d’équité pour revaloriser spécifiquement les PE.

Pas la revalorisation attendue pour le 1er degré

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Notre syndicat estime qu'il est impossible de se contenter du dégel du point d’indice, qui vise juste une remise à flots de la situation salariale des fonctionnaires.  Depuis que le processus de revalorisation a été enclenché par le ministère de l'Education Nationale, le SNE a toujours défendu des mesures catégorielles pour le premier degré (sans missions supplémentaires), en plus de mesures générales pour l'ensemble de la profession enseignante.

Dégel du point d'indice annoncé, il était grand temps !

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Bien sûr, nous ne sommes pas dupes : cette annonce intervient à quelques semaines des élections présidentielles et le dégel n'aura ou n'aurait lieu qu'après cette élection. Le SNE salue néanmoins cette nouvelle, même si notre niveau de satisfaction dépendra de l’ampleur du dégel. La revendication première du SNE concernant les salaires reste une revalorisation catégorielle pour le 1er degré, puisque nos revenus sont encore et toujours à la traîne par rapport à ceux de nos collègues du second degré.

Classe exceptionnelle : du changement pour cette année 2022

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L’accès à la classe exceptionnelle permet d’améliorer considérablement la rémunération en fin de carrière. Dès cette année, de nouvelles mesures devraient permettre à davantage de personnes d’accéder au grade de la classe exceptionnelle. Elles concernent le ratio de passage entre vivier 1 et vivier 2, la durée exigée pour la reconnaissance des fonctions et la nature des fonctions prises en compte. Le SNE fait le point pour vous.

Bref, je suis adhérent à PREAU

l'histoire d'un scandale qui coûte 10€

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Mardi 14 décembre j’apprends que la plateforme PREAU est ouverte. Victoire, L’Education nationale se dote enfin d’une association aux airs de comité d’entreprise. C’est une lutte de longue date que les enseignants viennent de gagner. Ni une ni deux, je clique sur le lien.
Oh miracle ! Ce n’est pas un fake. Oh sidération ! La plateforme existe bel et bien. On dirait même qu’il y a des offres. Je suis à un clic du bonheur…

Complémentaire santé partiellement remboursée : plus qu’une semaine

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Attention, les démarches doivent être effectuées avant le 3 décembre pour pouvoir percevoir les 15€ dès janvier 2022. Le SNE fait le point pour vous.

Hors classe et classe exceptionnelle, même combat

Suite aux demandes formulées par le SNE, le ministère a examiné la possibilité d’élargir la liste des fonctions ouvrant droit à un accès au premier vivier pour la promotion à la classe exceptionnelle. Notre syndicat a également défendu une augmentation du pourcentage de promus à la hors classe pour le 1er degré, afin d’égaler celui du second degré.

CPC : nouvelles fonctions, « nouvelle » rémunération

Le ministère a l’intention de faire évoluer les missions des CPC et de les rémunérer un peu mieux. Pour le SNE il est important de dissocier accompagnement pédagogique et inspection. Demander aux CPC d’évaluer leurs pairs serait une dérive néfaste. Par ailleurs, le SNE estime que l’augmentation prévue est bien loin de suffire à rémunérer les CPC à la hauteur du travail qu'ils effectuent.

Une partie de la mutuelle enfin remboursée

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Le décret du 08/09/2021 est une première marche importante et essentielle. Pour le SNE, le mouvement qui est enclenché constituera, une fois mené à son terme, une réelle avancée pour les enseignants. Le SNE a pris part à cette création d’un droit nouveau. Nous vous invitons à en profiter dès janvier.

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Combien ? Pour qui ? Quelles sont les mutuelles concernées ? Quelles démarches pour obtenir ce remboursement ? Le SNE fait le point pour vous.

Maîtres d’Accueil Temporaire : d’inacceptables disparités territoriales de rémunération

Selon les académies, la rémunération des M.A.T. varie parfois du simple au double. De telles inégalités locales de traitement indemnitaire sont aussi incompréhensibles qu’insupportables puisque les missions remplies sont rémunérées sous l’égide d’un cadrage réglementaire national.

Modification des conditions d'accès à la classe exceptionnelle

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Face aux risques d'engorgement et de promotions non réalisées, le SNE propose des améliorations pour l’accès à la classe exceptionnelle.

Revalorisation : le SNE enfonce le clou

Le SNE ne se satisfait pas des mesures proposées.  Elles sont largement insuffisantes pour rattraper le retard accumulé depuis des décennies en matière de rémunération des enseignants, en particulier dans le 1er degré. Nous l'avons dit et répété, notre profession a besoin de mesures fortes. Malheureusement le ministère nous répond que cela ne sera possible qu'en plusieurs étapes étalées sur les années à venir.

Revalorisation : un geste pour le milieu de carrière

Suite aux propositions du SNE du 24 juin, le ministère a mis sur la table un nouveau scénario de revalorisation lors du groupe de travail du 29 juin, avec enfin une prise en compte des enseignants en milieu de carrière. Les conditions d’accès à la hors-classe et à la classe exceptionnelle ont également été discutées. Le SNE continuera à proposer et soutenir des mesures tant en faveur de l'ensemble des enseignants du premier degré (prime de vie scolaire et revalorisation de l'ISAE) que des directeurs d’école lors du dernier GT du 5 juillet.

Un observatoire, pour quoi faire ?

« L’observatoire des rémunérations et du bien-être » a été installé ce lundi 28 juin. Vous vous dites peut-être : « Quel besoin de créer un observatoire pour s’apercevoir que les enseignants sont mal payés, et ce depuis des lustres, alors que plusieurs rapports ont déjà pointé du doigt le problème » ou « On se fiche de nous… Comme par hasard, un an avant les élections », etc.​ Essayons tout de même de vous apporter quelques éléments pour vous permettre de réagir en connaissance de cause

Revalorisation : propositions du SNE pour la répartition des 255 + 155 millions

Le SNE, fidèle à son habitude, est force de proposition dans le cadre des négociations actuelles. Suite au groupe de travail du 14 juin, le SNE a adressé au ministère deux nouveaux scénarios de répartition des 255 millions consacrés à la prime d’attractivité, afin de garantir une progression salariale pour tous. Notre syndicat revendique également, dans le cadre de la répartition des 155 millions destinés à des mesures catégorielle, la création d’une indemnité de vie scolaire spécifique au premier degré ainsi que l’alignement de l’ISAE sur l’ISOE.

Le primaire, oublié annoncé de la revalorisation

Compte-rendu du GT ministériel du 14/06

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Le 14 juin, trois scénarios de revalorisation ont été présentés par le ministère. Tous sont dégressifs et concernent les échelons 2 à 7 ou 8 selon les hypothèses, soit de 34 à 43 % des collègues. Notre syndicat a revendiqué que la prime d’attractivité soit accompagnée par une revalorisation des échelons les plus élevés de la classe normale et des mesures spécifiques au 1er degré visant à instaurer, enfin, une véritable équité de traitement entre les professeurs des écoles et les certifiés.

400 millions : priorité au 1er degré

Planning des négociations de juin

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Le SNE espère que ces réunions aboutiront à des mesures concrètes et efficaces dans les domaines les plus cruciaux, en particulier ceux de la revalorisation (répartition des 400 millions promis lors du Grenelle) et de la direction d’école. Notre syndicat prendra évidemment part à ces réunions et y défendra la mise en place d'une prime spécifique à l'ensemble des enseignants du premier degré ainsi qu'une évolution de la situation des directeurs.

​Revalorisation salariale des enseignants : l'an II

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Les mesures annoncées en novembre 2020 et mises en place progressivement à partir de janvier 2021 perdureront en 2022 (prime informatique, prime d’attractivité, prime de responsabilité, augmentation du taux d’accès à la hors-classe). Suite au Grenelle de l’éducation, notre ministre a annoncé que 400 millions supplémentaires seront consacrés spécifiquement à la revalorisation des enseignants en 2022. La répartition de ces 400 millions sera négociée au cours du mois de juin. Le SNE défendra une revalorisation spécifique de l’ensemble des enseignants du premier degré, parent pauvre de l’éducation nationale.

Revalorisation : le SNE revendique la priorité aux enseignants du primaire

Communiqué de presse

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Les enseignants du premier degré sont les parents pauvres du système, alors qu’ils effectuent de nombreuses missions supplémentaires et un temps de service bien plus conséquent que leurs collègues des collèges et lycées pour un niveau de recrutement équivalent. Il est urgent de réduire cette inéquité pour tous ces personnels qui ont largement fait preuve de leur dévouement et de leur professionnalisme ces derniers mois.

Grenelle : les engagements du ministre

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Le SNE déplore l’abandon d’un projet de loi pluriannuelle qui oblitère toute perspective à moyen terme. Cependant, l’esprit des engagements du ministère est conforme à nos attentes. Voilà les principales mesures que le SNE a activement défendues et qui sont aujourd’hui actées en ce qui concerne la poursuite de la revalorisation des enseignants, la reconnaissance du métier de directeur d’école, le soutien réaffirmé et renforcé aux enseignants et l’amélioration de leurs conditions de travail.

Une complémentaire santé prise en charge par l’État

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Lors du conseil des ministres du 28 avril, un projet de loi relatif à la protection sociale complémentaire dans la fonction publique a été présenté. Il s’agit d’une revendication que le SNE porte depuis longtemps et qui pourrait aboutir prochainement.

À quand les augmentations de salaires promises par le Grenelle ?

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Il était prévu que le ministère présente en février un projet de loi pluriannuel en se basant sur ce qui ressortirait des débats. Nous sommes maintenant en mars et rien ne semble se profiler à l’horizon. Questionné à ce sujet lors du Comité Technique Ministériel du 25 février, M. Soetemont, DGRH s’est voulu rassurant.

​Primes non versées, avancement 2020 en attente : le ministère répond au SNE

Le SNE avait interpellé le ministère le 27 janvier au sujet de la colère et du ressentiment provoqués notamment par le non-versement de la prime informatique et de la prime de responsabilité pour les directeurs, ainsi que par le retard dans la prise en compte des avancement 2020. Nous avons reçu samedi après-midi les explications détaillées du ministère. 

Primes non versées, avancement 2020 en attente : halte au mépris

Pas de prime sur le salaire de janvier. Ni de prime informatique, ni de prime de direction mensualisée. Et les passages d’échelon de 2020 ne sont toujours pas effectifs. Ce délai est aussi incompréhensible qu’inacceptable. Le SNE a immédiatement interpellé le ministère.

Revalorisation salariale : les préconisations du Grenelle

Les préconisations de l’atelier «Revalorisation » du Grenelle viennent d’être rendues publiques. Comme vous pourrez le constater, les propositions du SNE y ont été largement reprises. Il appartient maintenant au ministère d’en tirer toutes les conséquences dans son projet de loi pluriannuel.

Revalorisation : l’heure est aux actes

Des premières mesures ont été actées, certaines sont déjà effectives. Tout cela ne révolutionne pas notre quotidien, mais il faut garder à l’esprit qu’il doit s’agir d’une première étape d’un processus à long terme. Le SNE a pris une part importante dans ce travail. En 2021, notre syndicat compte bien voir ses efforts porter de nouveaux fruits, d’une ampleur beaucoup plus importante et cette fois sur le long terme.

Précisions sur la prime d’équipement informatique

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Lors d’un groupe de travail sur la direction d’école, M. Soetemont, DGRH de l’Éducation Nationale et de l’Enseignement Supérieur, nous a indiqué que tous les directeurs, y compris ceux qui n'exercent pas devant élèves, toucheraient finalement la prime informatique.

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La situation des ERH et des conseillers pédagogiques, qui n'exercent pas devant élèves, reste à préciser.

Bientôt une complémentaire santé payée par l'Etat ?

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L’État étudierait un projet d’assurance santé complémentaire facultative sur le modèle du privé, ce qui signifie qu’il réglerait la moitié de la cotisation demandée. Ce qui est certain, c’est que si une telle mesure venait à exister, elle permettrait aux agents de réaliser une économie substantielle.

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​Vous pouvez compter sur notre syndicat pour en réclamer bien haut la concrétisation rapide. 

Prime d’équipement informatique : d’éventuels exclus ?

Certains personnels pourraient ne pas toucher cette prime. Pour le SNE, cela est inconcevable.

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Notre syndicat avait déjà exprimé au ministère son opposition franche à l’octroi de cette prime en échange d’un travail supplémentaire.

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